invivable

samedi soir, il est 2h30 du matin, une bande de jeune s’installe sur le canal avec un sono et de l’alcool, le volume est à fond. pour la 1ère fois, je décide d’appeler la police car là c’est trop.
IMPOSSIBLE DE LES JOINDRE ! 15 min en attente, et ça raccroche, je recommence, pareil. j’appelle avec le fixe et mon portable, ça a duré presque 1h avant d’avoir enfin quelqu’un. le bruit continue, personne n’est intervenu entre temps. l’agent me répond qu’ils sont déjà au courant et qu’il envoie une brigade. 1h plus tard, donc 3h30 toujours personne !

La mairie peut bien faire de belles promesses et nous envoyer des courriers pour nous expliquer que le nécessaire sera fait, de la prévention, qu’il y aura des rondes de polices, etc. en attendant, cela fait plus de 2h que la sono est à fond et qu’ils hurlent en pleine nuit, je n’ai pas vu une seule voiture de police passer.
Les autorités ne font rien pour assainir la situation sur le canal, c’est intenable et inacceptable.

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nuisances

Voilà les beaux jours (non les nuits bruyantes et stressantes devrais-je dire) sont de retour, il va être 23h30 et depuis 20 h un groupe a installé son petit salon sur la berge de l’écluse près du pont tournant (fauteuil, canapé et sono)s’en oublier bouteilles d’alcool et gâteaux apéritifs. J’ai appelé le commissariat vers 20h et après 30 minutes d’attente un policier a fini par décrocher et me dire qu’une voiture serait envoyée sur place, mais malgré un nouvel appel 2heures plus tard la fête continue et toujours pas de gyrophare en vue.
Comme chaque année, je me demande à quoi sert l’arrêté préfectoral n° 16855 du mois d’octobre 2000, des articles R48-2 et R623-2 du code pénal.
Il est affligeant de constater que tout se dégrade au fur et à mesure des années, qu’aucun élu, qu’aucune autorité ne se bouge pour qu’enfin les riverains puissent jouir pleinement et en toute quiétude de leur environnement.

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